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Le DVD de Maria Montessori et la famille (page 3/5)

Continuons à explorer ce que les deux DVD du coffret « Maria Montessori,Une vie au service des enfants » (cliquez ICI pour les commander) présentent en abordant aujourd’hui le thème de la famille.

 

En images, au rythme des émotions familiales, nous suivons la famille de :

  • Maria Montessori qui reçoit le soutien de sa mère, en partie (car elle refusera d’adopter son petit-fils), mais s’oppose à son père
  • Giuseppe Montessano qui doit obéir à sa mère, Duchesse qui impose ce que sa classe sociale impose à tous et qui peut le seul décider de l’avenir de son fils
  • La nourrice en Province qui est mandatée par le professeur Montessano et se retrouve tiraillée entre les deux parents
  • La famille de Giovanni, le jeune du quartier Lorenzo, qui vit dans la misère et dans le froid et qui sera éduqué dans l’école

C’est en fait une « grande famille » que Maria aura reliée à travers les continents, et à travers son siècle.
Même si la sienne aura été un échec cruel, dont elle ne se remettra jamais probablement.

Dans le film, on la voit embrasser des enfants, empêcher un autre d’être battu, observer les enfants maltraités par les médecins eux-mêmes.

C’est lors d’un acte dramatiquement présenté par le scénariste, que l’on voit Mario qui apprend de la bouche de Maria qu’elle est sa mère. Celle-ci après cette annonce difficile fuit brûtalement et son fils la poursuit en voiture en courant à tout rompre, jusqu’à en tomber à terre.

Mario – Pourquoi tu n’as pas voulu de moi ?

Maria – J’étais seule et pour la loi tu n’étais pas mon fils, je ne pouvais pas te garder seule.
Mario – Tu as défié le monde pour les enfants des autres et tu ne l’as pas fait pour moi ! »

Les dialogues de ce film sont  les questions que l’on se pose encore aujourd’hui. Tout comme on se les pose pour Jean-Jacques Rousseau qui a abandonné tous ces enfants à l’assistance publique. Autres temps autres moeurs. C’est toujours plus facile d’observer les autres coutumes d’autres siècles.

Le scénario et les dialogues du film sont cohérents. On raconte une histoire, à un auditoire qui ne connait pas grand chose de la vie de cette grande femme italienne. On maintient le suspend et la dramaturgie.