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Maria, Mario Montessori junior et les pommes de terre
Dans son ouvrage « Education for human development », au chapitre intitulé « cosmic education », Mario Montessori Junior raconte une anecdote vécue avec sa grand-mère Maria Montessori.
Alors qu’ils sont dans la cuisine tous les deux et que Maria épluche des pommes de terre (Solanum tuberosum), elle s’étonne de voir ces parties de la plante (des réserves en fait) qui sont comestibles par l’humain alors que la fleur et le fruit lui sont dangereux, voire fatals. Elle se demande comment l’homme est arrivé à cette connaissance pointue de la plante, sachant que celle-ci avait été ramenée en Europe par les découvreurs.
Quel étonnement pour ce jeune garçon de voir sa grand-mère en pleine extase devant des pommes de terre ! Oui, Maria connectait à travers son observation et son questionnement deux époques éloignées.
Et c’est ainsi qu’elle proposait, à chacun selon son potentiel, d’imaginer des réponses.
Qu’est-ce que la tâche cosmique de l’être humain ?
Plus loin dans son ouvrage, Mario Montessori Junior analyse l’humain qui se distingue de l’animal de plusieurs façons. L’une d’elle est qu’il transforme son environnement. Il le façonne à sa convenance; sans cesse; c’est un but, peut-être une obsession pourrait-on dire, Maria appelait cela une tâche cosmique.
Et c’est grâce à son imagination que l’Homme cherche à satisfaire ses besoins essentiels. Ainsi, utilisant son cerveau pour transformer son environnement, il impose aux autres humains de s’adapter à ces changements, et tout le monde suit le même mouvement génération après génération. Et tout ceci peut être accompli avec l’aide à la vie, que Maria donnait comme synonyme de l’éducation.
Les périodes sensorielles et sensitives
Ce matin, j’ai répondu à des stagiaires en formation d’éducatrices Montessori au sein de l’Académie TMF, à des questions sur les périodes sensitives ou sensibles de l’enfant selon la méthode de Maria Montessori. A mon avis, il s’agit de données de la psychologie de l’enfant qui devraient être connues de tous ceux qui de près ou de loin prennent soin des enfants aujourd’hui. Et aussi, ajouterai-je, de la part des concepteurs de jouets, des auteurs de livres pour enfants, etc.
Cliquez sur la photo ci-dessous (photos pour le langage OML) pour en lire ce que Maria en disait dès les années 1932. Vous découvrirez peut-être la distinction qu’elle faisait entre sensoriel et sensitif ?
Je résumerai la différence entre :
- sensoriel : ce qui se produit pour l’enfant – grâce à l’utilisation de ses sens (plus nombreux que les 5 qu’on nous présente depuis trop d’années).
- sensitif : ce qui se produit dans son esprit et son âme – grâce à son intelligence et sa destinée-
Article de Maria Montessori : « Périodes Sensitives »
Si vous avez plus questions sur le sujet, nous serons heureux d’y répondre.
Extrait d’un rapport de consulting effectué dans une classe enfantine
Voici un extrait de compte-rendu de mission de consulting effectuée dans une structure Montessorienne, dite Maison d’Assistantes Maternelles (MAM) dans laquelle travaillent 4 éducatrices qui ont chacune 4 enfants en garde, une personne qui fait la cuisine et le ménage, et des intervenants extérieurs occasionnels. L’équipe nous avait missionnés pour avoir un regard extérieur et constructif sur l’environnement et l’ambiance, ainsi que sur leur posture professionnelle (avec application de la posture des 5S).
Début des extraits du compte-rendu écrit :
Nous sommes venus dans votre structure du lundi 26 août matin au lundi midi. Dans un premier temps, nous avons observé la structure, les aménagements des espaces intérieurs et extérieurs, puis pour chaque espace, la configuration des mobiliers et des matériels pédagogiques.
…..Dans l’espace dit de classe enfantine Montessori, un certain nombre de mobiliers utiles à l’apprentissage de la marche doivent être à la disposition des enfants : Barre, tabouret, miroir, escalier, cubes, tunnels piklériens, etc… Nous les avons énumérés, comptés et en avons observés l’emplacement afin de jauger le confort ou l’inconfort des enfants.
- La barre n’est pas utile dans un environnement où les enfants sont tous des marcheurs (non confirmés et confirmés). Elle prend de la place à l’heure actuelle et peut être démontée.
- Le tabouret est encore utile à quelques enfants primo-marcheurs et pourrait se trouver placé le long d’un mur plutôt que d’une étagère car certaines petites mains en actions pour aider à se lever pourraient rencontrer un plateau de matériels et le renverser.
- Le tunnel n’est pas piklérien, il est en tissu et l’enfant ne voit pas à l’extérieur, source d’angoisse potentielle de certains et les personnes extérieures ne voient pas si un enfant est à l’intérieur. A éviter donc et remplacer par un tunnel piklérien, cad un simple cadre en bois.
…..Pour le développement de la stéréognosie, du matériel adapté à la taille de la main et à la sensibilité sensorielle des enfants de moins de 3 ans, est conseillé. Nous avons sorti chaque objet et en avons observé le ou les matériaux, la texture, le poids… Il y a beaucoup d’objets en plastique. Il vaut mieux les supprimer si on veut faire découvrir du tissu, du carton, de la plume, du bois….aux enfants.
….. Voici quelques observations et questions diverses à aborder ensemble durant une réunion avec votre équipe pédagogique :
DEVELOPPEMENT PHYSIQUE
- Matériaux utilisés par les enfants dans la classe : Eau, mais pas ni sable ni pâte à sel,
- Il n’y a pas de progression dans les puzzles, qui doivent être en 3D avant ceux en 2D,
- Pour les puzzles en 2D, il faut qu’ils aient un bouton de préhension,
- Les grands mouvements moteurs n’ont pas d’espace suffisants dans l’aménagement actuel (spatialité et spiritualité).
DEVELOPPEMENT PSYCHIQUE
- L’étagère en milieu d’ambiance est sans fond, ce qui fait que les enfants l’utilisent comme un tunnel,
- La phase de développement de l’esprit absorbant inconscient n’est pas prise en compte.
…..En conclusion de ce compte-rendu, selon la prise en compte de la posture montessorienne des 5S, nous attirons votre attention sur les points suivants pour lesquels il faut agir en priorité :
Du point de vue sécurité, nous avons noté les points suivants :
– les enfants glissent souvent sur l’eau renversée à terre, pour laquelle une grande serviette pourrait être installée,
– les enfants se prennent les pieds dans le fil tendu pour brancher un presse-agrume électrique ! De plus ils mettent les mains dans l’appareil électrique,
– un porte-manteau est installé tellement bas que les enfants se tapent la tête dedans en se relevant,
– le robinet thermostatique n’est pas adapté aux mains des enfants et peut être source de température trop élevée,
Du point de vue santé, nous avons noté les points suivants sur lesquels intervenir rapidement :
– les enfants épluchent des oeufs durs et les mangent sans qu’ils soient vérifiés ! Il y a risque qu’ils ingèrent des coquilles,
– il n’y a pas de papier toilette dans les WC, les enfants n’en apprennent donc pas son utilisation,
– des perles et des magnets sont de très petites tailles et peuvent être ingérés par les enfants,
– prévoir des tapis anti-dérapants au fond de certains plateaux afin d’éviter la chute du matériel en verre ou céramique.
Du point de vue spiritualité, nous avons noté les points suivants sur lesquels intervenir rapidement :
– les éducateurs diffusent une chanson qui s’intitule « Jean Petit qui danse » mais demandent aux enfants de ne pas danser ! Il y a dissonance cognitive,
– certains éducateurs réagissent à l’opposé d’autres sur des gestes essentiels (comme l’aide durant l’habillage et le déshabillage). Cela déstabilise l’enfant qui ne peut savoir où est la règle à tenir,
– si le mobilier n’est pas adapté à la taille et à la force de l’enfant, il est mis en difficulté. Par exemple une bassine était trop grande et trop lourde remplie d’eau. Pour la soulever, l’enfant aurait été accompagné grâce à des poignées. Voyez la différence entre les deux solutions ci-dessous.
Alors que les professionnels du milieu de la Petite Enfance, se posent beaucoup de question et sont de moins en moins formés et donc de moins en moins payés, nous nous devons d’être de plus en plus proches des bébés et des enfants qui ont BESOIN de SOINS d’adultes durant les deux premières années de leur vie.
AMOUR, SECURITE ET SANTE. L’amour, ils ne le trouveront pas dans les structures, mais sécurité et santé, doivent y être !…..
Fin des extraits du compte-rendu.
Si vous voulez une intervention de consulting dans votre ambiance et environnement, demandez-la nous !
Faut-il ou pas faire évoluer la pédagogie Montessori ?
Notre réponse pencherait plutôt vers le NON et en voici nos arguments :
– « Faire évoluer » est infini et donc sans limite, l’objet premier disparait au bout d’un certain temps
– Les arguments de l’évolution seraient les manquements, hors il y en a très peu dans le cursus scolaire Montessori.
Murielle Lefebvre a choisi d’ajouter dans les formations Montessori proposées par l’Académie TMF , uniquement ce qui manquait comme les leçons de Français sous format de méthode OML (puisque Maria et Mario Montessori ne les avaient pas conçues).
Les apports Pikler comblent également un manque, et c’est Murielle Lefebvre encore une fois qui a introduit ceci en France en complément du cursus pour les Bébés pour lequel elle a écrit le premier livre en France en 2013 (Montessori pour les bébés).
– Il ne faut pas toucher au coeur de cette philosophie, seulement la complémenter dans ce qui est en situation de péril pour les enfants. Par exemple actuellement en France, les professionnels qui prennent soin des bébés ne sont pas formés aux 5S : Santé, Sécurité, Soin, Spatialité et Spiritualité.
Autre exemple, les enfants doivent être éloignés le plus possible des écrans et amenés le plus possible dans la Nature pour l’observer, la sentir et apprendre à la connaître . C’est pour cette raison que nous n’avons pas d’ordinateur dans les classes Maternelle Montessori et au moins une plante pour chaque enfant dont il prend soin au quotidien.
– La vie pratique montessorienne sera adaptée aux besoins essentiels de l’enfant et de sa culture. Nous ajoutons un potager, des préparations de repas et de bricolage dès que possible dans les classes Montessori, c’est ce que Maria décrivait comme les soins de sa personne et de son environnement. Il ne s’agit pas d’évolution de la méthode.
En conclusion, la philosophie Montessori contient tout ce qui est nécessaire pour l’Education à la vie et cela ne variera pas quelque soit l’époque. Un enfant reste un petit être social au potentiel humain extraordinaire. Et c’est de cette émeraude dont il faut prendre soin.
Guillaume, apprenant éducateur sur notre plate-forme nous écrit
J’ai fait ma première rentrée (première en septembre puisqu’en mars dernier j’ai pris en charge une classe de 3-6 grâce à vous!!). Je suis dans une école qui reconnait votre formation, enfin !! Grâce à des personnes comme vous des personnes comme moi (très motivés sérieuses et qui aiment profondément l’enseignement, la pédagogie et les enfants) peuvent faire des formations Montessori que d’autres osent proposer à 10 000 €!!!!
Biodiversité, tout le monde en parle, qu’est-ce que c’est précisément ?
Il ne se passe pas une journée sans que j’entende le mot BIODIVERSITE. Et vous ?
Ce mot a été créé par un biologiste américain Walter G. Rosen, lors d’un colloque aux États-Unis en 1985.
Le musée national d’histoire naturelle nous en donne une définition sur son website :
https://www.mnhn.fr/fr/qu-est-ce-que-la-biodiversite
« Derrière ce concept se cachent donc aussi bien la notion de nombre d’espèces présente dans un milieu que celle de leur diversité (combien d’espèces différentes s’y trouve), d’abondance (nombre d’individus de chaque espèce) ainsi que leur variabilité, c’est-à-dire les évolutions constantes de tous ces éléments. »
Je vois une faute d’orthographe à « trouve » et puis je ne saisis pas la différence entre « notion de nombre d’espèces » et « diversité », s’il s’agit de combien il y en a, comme écrit dans la parenthèse ?
Par ailleurs, je suis d’accord sur l’aspect « se cacher » de la définition; car cette définition semble soit trop simpliste : il faut compter tout ce qui est vivant, soit complexe et donc, compris par seulement les créateurs du terme. Qu’est-ce qu’on nous cache alors ?
Continuons.
Savez-vous qu’il existe en France un Office Français de la Biodiversité ? Il a été créé le 1er janvier 2020 de la fusion de l’Agence française pour la biodiversité et de l’Office français de la chasse et de la faune sauvage. Trois mille agents y travaillent et le budget 2024 de l’OFB est de 659 millions d’euros.
Ah oui, tout de même !
Je vous laisse découvrir comment est utilisé cet argent : https://www.ofb.gouv.fr/sites/default/files/Fichiers/Presse/CP_SNB_Budget_OFB_2024%20_vf.pdf
Revenons aux réalités à l’échelle humaine.
Le terme BIODIVERSITE est un « mot valise », utilisé à tort et à travers, ou comme un joker aussi quand certains parlent du monde du Vivant. Alors que je mets au défi n’importe quelle personne (moi comprise) de citer trois noms de plantes (non cultivar) de son entourage ainsi que trois noms d’animaux (il ne reste plus que des insectes et des oiseaux dans le monde du vivant visible en ville).
Ce que je constate, c’est que lorsqu’on coupe un arbre, on condamne des insectes, des oiseaux, parfois des nids. Quand on utilise des produits insecticides, certes on tue les insectes, mais on impacte d’autres éléments du vivant. Quand on jette nos déchets, on déclenche une autre chaîne du vivant, etc.
Bref, le vivant est partout, nous en faisons partie et nous avons un impact sur ses multicycles.
Ce qui m’a amenée à créer un autre terme, celui de BIO-INTERDEPENDANCE. Je le trouve plus représentatif et plus impliquant dans l’utilisation. Car le vivant ne peut exister sans connexions. L’homme dépend de la Nature. Les plantes, les animaux et les hommes sont interdépendants les uns des autres.
Nous enseignons ceci aux enfants avec les leçons issues de l’Education Cosmique de Maria Montessori.
Et vous, que pensez-vous de la biodiversité ?
PS : récemment j’ai entendu le terme « Géodiversité ». Allons-nous vers les déclinaisons, non pas latines mais modernes, de ce terme « diversité » ? A quand l’humanodiversité ? La religiodiversité ?)
Une petite fille regarde par la fenêtre
Récemment en consultant ma base de données de photographies, je trouve cette photo qui me touche particulièrement.
Je ne sais plus exactement où elle a été prise mais elle m’évoque de belles pensées.
Cette petite fille, bien qu’elle soit assise sur une chaise trop haute pour elle (puisque ses pieds ne touchent pas le sol), est face au monde extérieur grâce à une fenêtre tout à fait adaptée à la classe des jeunes enfants. Elle peut effectuer son activité mais aussi faire des pauses et observer le monde extérieur au vase clos de la classe. La lumière naturelle est aussi très importante pour l’enfant. J’ai vu tant de classes éclairées aux néons artificiels, basses de plafond, sans aucune fenêtre à la hauteur des enfants.
Je sais bien que c’est compliqué de trouver des locaux adaptés. Quand allons-nous mettre l’enfant au centre de nos préoccupations ? Ce sont eux qui continueront notre monde, en avons-nous conscience ? Relisons ce que Maria Montessori a écrit pour ne pas prendre ce fil conducteur dans nos actions.
Revenons à cette jeune demoiselle. Elle est tranquillement installée, concentrée. Rien ne la perturbe apparemment. D’autres enfants sont dans la classe mais son périmètre de respiration est large. A sa droite, sur un grand mur, on voit accrochée une toile de maître, de style ancien, entourée d’un large cadre doré. L’environnement est sobre, beau, soigné et préparé. C’est un beau geste de respect vis-à-vis des enfants. La classe est rangée, décorée, lumineuse pour entourer psychologiquement l’enfant.
Sur sa table en bois, elle a posé un petit panier en osier qu’elle est allée choisir, elle-même. Ses mains sont occupées à effectuer une activité précise qui lui a été présentée par un(e) éducateur(trice). On voit du liège, des ciseaux, des brins de laine ou coton. Ses coudes sont posés sur la table, pour fixer une position dans laquelle elle est confortable.
A la droite de l’enfant, on reconnait les sempiternelles étagères montessoriennes : des objets didactiques posées sur les étagères que les enfants peuvent atteindre avec facilité. Je ne peux m’empêcher de remarquer une chaise qui en barre l’accès ! Sans doute qu’il y a une explication temporelle que je n’ai pas.
Je remarque une petite lampe allumée au fond de la photo !-) Parfois, une petite ampoule supplémentaire met une emphase sur un matériel, un espace. Et puis je vois aussi en bas à gauche de la photo un coin de tapis sur le sol. Aménagement qui amène de la décoration, des sensations douces au toucher.
Les enfants sont très sensibles à tous ces détails dans leur environnement. Certains y seront agréablement sensibles, d’autres au contraire. A nous de les observer, de les comprendre, de les guider.
Nous avons la possibilité d’offrir cela à nos enfants, alors osons le faire !
Les expériences Montessoriennes en botanique
L’apprentissage de la démarche scientifique est proposée aux enfants dans les classes Montessori primaires par des expérimentations directes en physique, en chimie et en botanique.
Amener l’enfant à se comprendre, c’est l’amener à comprendre l’interconnexion avec son environnement.
Même si vous vivez en milieu urbain, il est possible de l’éveiller à la compréhension par exemple du monde vivant qui l’entoure.
L’apprentissage des causes et conséquences qui va lui permettre de progresser dans son adaptation.
La démarche scientifique proposée se fait sur 4 temps :
1) Observation
Regarder, dessiner, comparer et noter ce que l’on voit
2) Expérimentation
Recherche d’une question sur laquelle l’expérience va porter
Emission d’hypothèses
3) Mesures
Mesurer et illustrer les résultats
4) Conclusion
Elaboration d’une synthèse du travail effectué (par des dessins, des affiches ou graphes, des tableaux et du texte)
Il est assez facile d’appliquer la démarche scientifique aux plantes. Ainsi l’enfant apprendra sur :
– La nutrition des plantes
– La reproduction des plantes
– Les milieux de vie des plantes
Le module scientifique que nous proposons dans notre cursus de formation traite de la Botanique et de toutes les expérimentations. C’est en faisant celles-ci que l’enfant se rapproche de la Nature, donc de lui-même.
Erreurs dans les nomenclatures Montessori
Récemment, j’ai reçu d’une stagiaire en formation d’éducatrice Montessori pour les enfants en classe élémentaire, une nomenclature de botanique sur la famille des astéracées.
J’ai corrigé quelques erreurs ou manques et je partage le fichier PDF pour ceux qui seraient intéressés.
Je ne suis pas botaniste moi non plus mais j’étudie les plantes françaises depuis 3 années et c’est un champ (jeu de mots) infini qui s’est offert à moi ! S’il y a des spécialistes parmi vous, n’hésitez pas à nous éclairer de vos douces lumières botaniques et naturelles -)
J’attire une nouvelle fois votre attention sur le fait qu’il y a – et aura – de plus en plus d’informations inexactes sur l’internet et que c’est par conséquent crucial d’apporter du soin au choix de nos sources, surtout s’il s’agit d’enseigner aux enfants.
C’est pour cela que je conseille aux éducateurs, de présenter aux enfants moins d’informations mais de meilleure qualité. Nous n’avons pas utilité (sauf exception) à connaître les 293 familles de plantes. Alors décidons d’en présenter une seule aux enfants, la plus courante et proche d’eux, celle des astéracées par exemple, et soignons-en la présentation et les savoirs.
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