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Méthode OML

L’IA ne remplacera pas les passeurs de Sciences

J’ai déjà expliqué comment se transmet la philosophie de Maria Montessori : d’humains à humains.

Je suis bien placée pour vous affirmer ceci :

1) J’ai créé (avec le concours technique de mon époux) le premier site internet sur le sujet, c’était il y a 29 ans. Nous avons transmis ce que nous savions, apprenions et recevions des autres, par plusieurs canaux dont le principal, notre website : montessori.fr.

2) J’ ai créé le premier service de formations Montessori en français, à distance, en 2013.

Alors que je vous écris, c’est une petite voix dans ma tête qui dicte les mots. Et vous me lisez.
Ce que je vois, je lis, j’étudie ou j’écoute de mes interlocuteurs passe parfois dans les posts de ce website.

Je continue à faire confiance dans les humains pour me transmettre une partie de leurs savoirs. Je ne pense pas qu’ils puissent être remplacés par la machine, seulement aidés -et sûrement de mieux en mieux-.

Selon moi, l’intelligence humaine dépasse tous les possibles. Donc toutes les techniques, si performantes soient elles ne pourront rivaliser. La transmission humaine est inimitable, car chargée d’une infinités d’attributs et de subtilités.

Ainsi, aujourd’hui, j’ai envie de vous faire découvrir ce qu’écrit un botaniste français, Gérard Guillot, qui publie une newsletter à laquelle je suis abonnée. Je le remercie de son travail de fourmi (jeu de mots -).

Celle d’hier, envoyée à ses adhérents, m’a permise de découvrir ce que sont les espèces animales saproxyliques, adjectif jusqu’à maintenant inconnu de ma personne.

Invertébrés du bois mort : la communauté des saproxyliques-Ch. 1

Murielle Lefebvre

Les expériences Montessoriennes en botanique

L’apprentissage de la démarche scientifique est proposée aux enfants dans les classes Montessori primaires par des expérimentations directes en physique, en chimie et en botanique.

Amener l’enfant à se comprendre, c’est l’amener à comprendre l’interconnexion avec son environnement.
Même si vous vivez en milieu urbain, il est possible de l’éveiller à la compréhension par exemple du monde vivant qui l’entoure.
L’apprentissage des causes et conséquences qui va lui permettre de progresser dans son adaptation.

La démarche scientifique proposée se fait sur 4 temps :

1) Observation

Regarder, dessiner, comparer et noter ce que l’on voit

2) Expérimentation

Recherche d’une question sur laquelle l’expérience va porter

Emission d’hypothèses

3) Mesures

Mesurer et illustrer les résultats

4) Conclusion

Elaboration d’une synthèse du travail effectué (par des dessins, des affiches ou graphes, des tableaux et du texte)

Il est assez facile d’appliquer la démarche scientifique aux plantes. Ainsi l’enfant apprendra sur :

– La nutrition des plantes

– La reproduction des plantes

– Les milieux de vie des plantes

Le module scientifique que nous proposons dans notre cursus de formation traite de la Botanique et de toutes les expérimentations. C’est en faisant celles-ci que l’enfant se rapproche de la Nature, donc de lui-même.

 

Erreurs dans les nomenclatures Montessori

Récemment, j’ai reçu d’une stagiaire en formation d’éducatrice Montessori pour les enfants en classe élémentaire, une nomenclature de botanique sur la famille des astéracées.

J’ai corrigé quelques erreurs ou manques et je partage le fichier PDF pour ceux qui seraient intéressés.
Je ne suis pas botaniste moi non plus mais j’étudie les plantes françaises depuis 3 années et c’est un champ (jeu de mots) infini qui s’est offert à moi ! S’il y a des spécialistes parmi vous, n’hésitez pas à nous éclairer de vos douces lumières botaniques et naturelles -)

J’attire une nouvelle fois votre attention sur le fait qu’il y a – et aura – de plus en plus d’informations inexactes sur l’internet et que c’est par conséquent crucial d’apporter du soin au choix de nos sources, surtout s’il s’agit d’enseigner aux enfants.

C’est pour cela que je conseille aux éducateurs, de présenter aux enfants moins d’informations mais de meilleure qualité. Nous n’avons pas utilité (sauf exception) à connaître les 293 familles de plantes. Alors décidons d’en présenter une seule aux enfants, la plus courante et proche d’eux, celle des astéracées par exemple, et soignons-en la présentation et les savoirs.

 

 

 

Cartes de vocabulaire thérapeutique médical pour le collège-lycée Montessori

J’ai toujours créé des matériels didactiques, c’est une de mes activités innées et spontanées depuis que je suis toute petite. J’aime transmettre et pour le faire il faut apprendre. L’un ne va pas sans l’autre.
Comment transmettre quand on n’a pas soi-même compris quelque chose ? Mais attention, transmettre ne veut pas dire déverser ses connaissances. Transmettre nécessite des qualités pour observer, écouter et s’adapter aux interlocuteurs auxquels on souhaite transmettre. Il faut également que « la cible » soit ouverte, car s’il y a un frein, le savoir va s’évanouir.

Aujourd’hui, je voudrais vous parler des cartes de vocabulaire thérapeutique médical que j’ai conçues. Elles sont simples, faites à la main – mais elles ont demandé des heures de recherches car il faut être certains de ce qu’on apprend ou enseigne -.
Comme dans tout matériel didactique montessorien, il faut prévoir la correction de l’erreur. Alors au recto, j’ai écrit l’adjectif et au verso sa définition.

Il y a 45 cartes. Je conseille de les classer par ordre alphabétique pour retrouver facilement une définition.
Elles sont utiles pour tous, à partir de 15 ans (plus jeunes si motivés), donc pour les jeunes en collège et lycée Montessori. Les étudiants allophones en Médecine en France peuvent les utiliser aussi.

On joue, par exemple, à donner des définitions à un adjectif, ou à l’inverse à dire l’adjectif à partir de la définition (écrite au verso).
Comme dans bon nombre d’apprentissages, la répétition et la mise en contexte s’imposent pour devenir maître du savoir.

Voici quelques photos de ces 45 cartes. J’ajoute des nouvelles cartes de temps en temps car la langue française est indéfiniment riche.

Je précise enfin que ce matériel entre de plein pied dans le parcours éducatif à la santé pour le collège-lycée !

En complément, voici un lien vers un lexique en ligne :

Lexique des Vertus Thérapeutiques des Plantes

Murielle Lefebvre
Consultante en pédagogies humanistes et holistiques
Spécialiste de la pédagogie Montessori
Créatrice de la méthode d’apprentissages des langues OML
Coach du mental
Apprenante en botanique & phytothérapie

 

L’été est l’occasion de se rapprocher de la Nature (avec un n majuscule)

L’été est l’occasion de se rapprocher de la Nature, qu’on vive en ville ou pas. Car même en ville, il y a des parcs, des jardins, des espaces verts, des arbres, etc.

Si j’ouvre les yeux autour de moi quand je suis dans la Nature, je vois des multitudes de couleurs, de formes de fleurs, de feuilles, de plantes et d’arbres. Si je respire profondément, je sens des odeurs parfois inattendues. Si je touche les feuilles, je perçois des nuances de douceurs.

Cet été, j’ai décidé de me pencher sur le monde des abeilles, dont on parle de plus en plus. J’avais justement la chance d’avoir un espace dédié à cela dans ma région.

J’ai découvert du bon et du moins bon. Comme dans mon habitude, je vais parler vrai alors je vous fais un résumé rapide des différents aspects.

Déjà il faut distinguer deux types d’abeilles. Comme dans les plantes, nous avons les naturelles et les « cultivars ». Les abeilles domestiques, sont des insectes qui vont être « fabriqués » par la démarche de la personne qui achète une reine abeille, construit (ou achète) une ruche et enfin s’occupe de l’élevage des abeilles du rucher à des fins de récolter miel, propolis, cire et gelée royale. Sans être forcément un commerce, si je mets des ruches dans mon jardin, le but est orienté; c’est ce que je fais également lorsque j’achète des poules et que j’ai la joie d’avoir des oeufs frais chaque matin.

Il existe les abeilles sauvages, d’espèces différentes, mais je n’ai pas étudié celles-ci pour le moment. Elles construisent aussi un essaim, c’est ce que l’on peut trouver au fond de son jardin, sous un auvent ou ailleurs. Dans ce cas, il faut appeler l’apiculteur et surtout ne pas détruire cet essaim.

Le miel est un produit issu d’une production apicole décidée la plupart du temps par les humains. Comme nous prélevons le lait de la vache, nous prélevons le miel de l’abeille. Or il semble que la consommation du miel augmente. Il faut donc augmenter l’offre. L’animateur de la miellerie nous a martelé tout le temps de la visite de ne pas acheter de miel en supermarché, celui-ci venant de pays étrangers comme la Bulgarie, la Chine… J’aime privilégier les produits locaux. Mais sont-ils meilleurs pour autant ? Essayons d’en savoir plus.

Lors de la visite de la miellerie, mon fils a pu revêtir la combinaison et les gants de l’apiculteur et manipuler les cadres en présence de l’apiculteur. Ce fut une expérience intéressante pour lui.

Concernant les produits utilisés, j’ai pu constater qu’il y a des cadres en plastique dans les ruches. Ce qui est surprenant pour l’environnement et les animaux aussi à mon avis. En surfant sur l’internet, j’ai trouvé des ruches complètement en plastique ! https://www.cooperative-apicole.fr/les-ruches-les-ruches-completes-ruches-dadant-plastique,57.htm

 

Et puis j’ai posé la question sur le fait que le miel, étant la nourriture hivernale des abeilles, qu’en est-il de leur survie si on prélève leur aliment ? Si vous observez une ruche vous constaterez des étages. L’apiculteur prélève sa taxe (un étage de miel) et en laisse un autre aux abeilles. Ouf ! Elles passeront l’hiver !

Les apiculteurs nourrissent les abeilles. Eh oui, nous sommes dans l’élevage.
Le nourrissement est bien expliqué dans cette vidéo :https://www.youtube.com/watch?v=to1iOley3zc
Vous y apprendrez qu’être apiculteur peut être un métier, comme l’éleveur de porcs ou de chiens de chasse.

J’ai également posé la question sur les miels et leurs saveurs. Faites attention car des chaînes commerciales aromatisent le miel en ajoutant des morceaux de fruits pour certaines, mais aussi des arômes artificiels pour d’autres ! Cela n’a rien a voir sur la saveur naturelle originel d’un miel dont les abeilles ont butiné le nectar d’une fleur.

Les abeilles ne peuvent s’éloigner au-delà de 3Km à la ronde de leur domicile (ruche). Il faut donc qu’elles trouvent toute leur nourriture dans ce cercle de distance. Si le nectar n’est pas suffisant ou s’il est prélevé sur des fleurs issues de la monoculture, cela imprègne le miel. Il serait surtout au maïs, colza ou blé en France.
En général, les apiculteurs décident d’implanter leur rucher dans des zones où il y a des arbres et des fleurs naturels (zone de montagne ou d’exploitations de lavande par exemple). C’est pourquoi les saveurs miel de châtaignier, miel de lavande, miel de thym sont les plus courantes en France. Comme les abeilles sont sensibles aux odeurs, vous ne trouverez pas de miel à la menthe ou au citron par exemple. C’est l’homme qui ajoute certaines saveurs dans le pot pour le vendeur de miel ou dans la tasse de tisane pour le consommateur.

Pour conclure, j’ai acheté un petit guide aussi dont voici le titre.

Enfin j’ai fabriqué un jeu pour les enfants – je ne peux m’en empêcher !-. J’aime surprendre les enfants avec des nouveaux jeux didactiques. Il fera partie de notre prochain programme en préparation (surprise !) sur la Nature.

En attendant, je vous souhaite une bonne dégustation de miels durant cet été et puis des recettes variées pour le plaisir gustatif de chacun.

 

 

 

Savez-vous ce qu’est un pneumatophore ?

Qu’est-ce qu’un pneumatophore. En voici une définition :

« Excroissance des racines de certains arbres qui croissent dans l’eau, permettant la respiration des racines »

Comme la Nature est bien faite !

Observez ces arbres immenses qui se dressent dans l’eau : des cyprès des marais !

L’Homme doit encore s’étonner de la force et de la grandeur de la Nature.

« Regarder des choses avec les yeux de l’imagination permet de pénétrer les mystères de la nature. » Maria Montessori dans Eduquer le potentiel humain

Profitons de nos moments d’immersion dans la Nature pour ouvrir grands nos yeux, nous avons tellement à y apprendre et y comprendre.

De la nécessité de se reconnecter à la Nature

Nous avons plus que besoin de nous reconnecter avec le monde du Vivant car nous sommes une partie de ce monde.

Nous avons crû que nous étions les prédateurs suprêmes de ce monde. Il n’en est rien.

En tant que maillon équilibré et équilibrant de la Planète Terre et de son écosystème global, ou identité cosmique, comme Maria le décrivait, notre rôle est aussi important que celui du Soleil ou de l’eau.

En sacrifiant, gâchant ou transformant le monde Vivant, nous scions la branche de l’arbre sur laquelle nous sommes assis.

https://www.dansnosbulles.com/scier-la-branche-sur-laquelle-nous-sommes-assis/

Afin d’éviter notre chute, nous vous proposons un ensemble de programmes complets dont l’essentiel a été décrit par des spécialistes comme Maria Montessori, Pierre-Yves Albrecht, Emmi Pikler, Philip Snow Gang et d’autres philosophes pédagogues. Ce sont des personnes qui inspirent notre association et nous vous proposons d’en faire de même.

Nous réfléchissons et agissons depuis trois années sur la Botanique, facile à aborder et la plus représentée (par rapport aux animaux) dans l’environnement des enfants. Même en pleine ville, il y a des arbres, des herbes, des fleurs (certes cultivar). Ce sont les portes d’entrée des enfants dans le monde de la Botanique. Alors, montrons-leur comment parcourir un chemin au-delà de ces portes d’entrée.

Nos inspirateurs sur la Grande Nature sont Jean-Marie Pelt, Peter Wohlleben, Pierre Lieutaghi, Jean Valnet, Thierry Thévenin…

En attendant, vous pouvez vous inscrire à la seule formation professionnelle complète online pour devenir un éducateur Montessori en classe primaire : https://formations.montessori.fr/wordpress/?product=educateur-montessori-6-12-ans

Screenshot

Si vous aussi, vous voulez avancer sur ce chemin minéral et végétal, faites-nous signe et ensemble, proposons aux enfants un lien très fort avec la Planète.

 

 

Réponse au jeu des plantes à deviner sur la photo publiée hier

Voici, en réponse, les 4 plantes présentes sur la photo ci-dessous :

Le trèfle rouge (Trifolium pratense)
Famille des Fabaceae
Bienfaits & Contre-indications : https://www.wikiphyto.org/wiki/Tr%C3%A8fle_rouge#Indications

La renoncule (Ranunculus repens)
Famille des Ranunculaceae

La pâquerette (Bellis perennis L., 1753)
Famille des Asteraceae
Bienfaits & Contre-indications : https://www.wikiphyto.org/wiki/P%C3%A2querette#Indications

La vesce commune (Vicia sativa L)
Famille des Fabaceae

Attention, la consommation des plantes pour se soigner se fait avec l’accompagnement d’une personne formée à la phytothérapie !

Enseigner les plantes aux enfants se fait en tout première instance sur le terrain. Chaque promenade ou randonnée est l’occasion de regarder les plantes.

Le premier contact didactiques se fait en live, avec les senteurs, les couleurs, les températures, la rugosité, la pilosité des plantes. Attention là aussi, vous devez bien connaître les plantes car la Berce du Caucase nous entoure et elle peut occasionner des brûlures au 2nd degré.

Ensuite, on continue les leçons à l’intérieur, en classe ou à la maison, avec des supports pédagogiques. Nous en reparlerons, et en attendant, bonnes découvertes printanières.

 

 

C’est le printemps, sortez tous les enfants dans la Nature !

Le printemps est la période explosive de la Nature en Métropole !

Les fleurs (rappelons que ce sont les organes sexuels des plantes) nous indiquent de quelle plante il s’agit. C’est comme si elles revêtaient leur plus beau costume pour se présenter à nous !

Alors emmenez les enfants à leur rencontre. Ils aimeront les couleurs, les grandeurs, les senteurs !

Chaque parcelle naturelle est un festival de plantes différentes. Apprenons à les sentir, les toucher, les dessiner, les nommer, les reconnaître, les classer, les gouter…

Comment les reconnaître ? La diversité vous sautera aux yeux et vous indiquera qu’aucun mauvais produit n’est passé par là depuis un bon moment. Il suffit d’ouvrir grands vos yeux ! Plus il y a de diversité plus la Nature est maîtresse !

Voyez-vous 4 plantes différentes dans cette photo ? Quels sont leur nom vernaculaire ? Leur nom de genre et espèce (en latin donc) ? Leur famille ? Leur vertus médicinales ? Leurs contre-indications ?

Si vous savez répondre, c’est formidable.
Si vous voulez apprendre à répondre à ces questions, et connaître les plantes qui nous entourent et savoir comment les initier aux enfants, nous vous proposons une formation online que nous vous présenterons bientôt sur ce website.

A demain pour la réponse sur les 4 plantes de la photo !

 

 

 

Les enfants découvrent la Nature (suite)

Voici une activité qui plaira aux enfants (et à certains adolescents). C’est de la vie pratique, si chère à Maria !

Car apprendre à connaître les plantes pour les plantes, cela peut lasser. Pour ma part, je trouve la botanique ausi difficile que riche. Rendez-vous compte : on a répertorié seulement la moitié des espèces végétales sur la planète Terre !

Alors si on peut connaître ce qui est autour de nous, et l’utilité que la plante peut avoir, allons-y !

La pâquerette (vous vous souvenez de son vrai nom ?) a des principes actifs utiles à découvrir comme nous l’avons vu dans le post précédent. Et pour en bénéficier longtemps, on peut tenter de les extraire et de les conserver. Le macérat huileux est une des solutions. C’est simple, sans danger et peu coûteux à réaliser, donc pour les enfants.

Je vous donne la recette issue d’un de mes ouvrages de références. Des pages 26 à 29 du livre, vous découvrirez en photos comment la reconnaître et quelles sont les propriétés médicinales pour les enfants et adolescents.

1) il faut faire sêcher les pâquerettes (cueillies fraîchement sans tige) quelques jours,
2) ensuite vous les mettez dans un contenant en verre tout propre,
3) vous les recouvrez d’huile végétale bio de votre choix,
4) vous ajoutez quelques gouttes d’huile essentielle de romarin (pour jouer le rôle de conservateur),
5) vous couvrez d’un tissu et entreposez le tout dans un espace éclairé normalement et chauffé à température ambiante,
6) après 3 semaines durant lesquelles vous aurez surveillé et remué un peu le bocal, vous filtrez le liquide dans un linge propre et remettez le contenu huileux dans un bocal foncé et vous entreposez à l’abri de la chaleur et de la lumière,
7) vous consommez selon vos besoins, dans les 3 mois suivants.

C’est important que les enfants participent activement à toutes les étapes de cette transformation.
Envoyez-nous vos photos et commentaires !