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Méthode OML

Renversons Halloween !

Hier, je partageais le « boycott d’Halloween ».

Screenshot

Aujourd’hui, je voudrais vous faire des propositions sur un Halloween de remplacement.

1) Créez des recettes avec des citrouilles et potirons.
Creusez la citrouille et ajoutez des châtaignes que vous aurez ramassées gratuitement dans les forêts !

 

Soit, vous inventer, soit vous copier des recettes.

2) Vous pouvez décorer la maison avec des lumières et bougies de couleur orangée et vous profitez en famille et avec des amis de cette ambiance douce et sereine.

https://fr.wikihow.com/illuminer-une-citrouille-pour-Halloween

3) Chantez des chansons sur une mélodie connue dont vous avez changé les paroles et les avez remplacées par des paroles sur le thème de citrouilles.

Je vous souhaite une fête Halloween doucement et joyeusement orangée !

 

 

Si vous voulez sauver les enfants, boycottez Halloween !

Halloween n’est pas une fête, c’est un mouvement business venu des USA, avec un fond maléfique.

Il remplit le cerveau des enfants et des adultes de PEURS et de MALEFICE, Il n’apporte rien de positif à personne, bien au contraire. Son but est de rendre la population dépendante.

L’impact d’Halloween est de plus en plus grand et il est largement temps de le stopper en le boycottant. Pour cela il suffit de le transformer en une fête différente. Je suggère donc de vous réunir et vous costumer si vous en éprouvez l’envie. Car il s’agit d’envie et non pas de besoin.

Nous avons un besoin spirituel essentiel, certes mais Halloween n’y répond pas.

La santé des enfants mérite des friandises choisies avec soin. Idem pour les fêtes, elles sont sources de joies, d’échanges sociaux mais construisent une société plus forte et belle si elles sont elles-mêmes pensées dans cet esprit.

Les enfants ont horreur des sorcières, des fantômes, des squelettes. Ils en ont très peur.

Halloween les perturbe énormément. Le noir, les cris, les maquillages, tout est source de stress, de tremblements, d’horreurs à voir et entendre. Ce sont les bases de la psychologie infantile.

 

 

 

Maria Montessori a formé des éducateurs(trices) en France en 1934

Savez-vous que Maria Montessori est venue en France en 1934 afin de former un groupe de 70 personnes ?

Le fait était si exceptionnel que les stagiaires étaient venus de toute l’Europe (35 étaient Français).

Elle avait été invitée par Mme Guéritte, la présidente de l’association La Nouvelle Education, et une directrice d’école Montessori niçoise, Mme Moulin, a tout organisé pour recevoir les stagiaires et Maria.

« Le cours Montessori de Nice laissera à tous ceux qui ont eu la joie d’y prendre part le souvenir d’un été lumineux aux vastes horizons. »

Je n’ai pas trouvé de photo de cette formation, j’en partage une d’une formation donnée également par Maria, en Inde.

Contenus inédits dans le monde montessorien francophone

Nous développons nos contenus de formation online depuis plus de dix années, ce qui nous permet de vous proposer des exclusivités inédites comme la formation à la géographie humaine et économique pour les enfants de l’école primaire et du collège.

Voyez un exemple de vidéo en cliquant ici.

Pour tout information sur cette formation, envoyez-nous un message, et parlons de vos besoins !

Comment présenter la COP16 Biodiversité aux enfants ?

Autant pour moi, c’était normal que tout le monde parle de biodiversité, puisque ont lieu actuellement les conférences de la COP16 Biodiversité, en Colombie cette année !

 

Muy bien. Faisons un peu de vocabulaire car là aussi, on se perd avec tous ces acronymes.

CDB, COP Biodiversité, COP Climat, CCNUCC, UNCCD….

  • La Convention sur la Diversité Biologique (CDB)
  • The Conference of the parties (COP)
  • La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC)
  • La Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD)
(source : https://www.ecologie.gouv.fr/rendez-vous/cop16-biodiversite)

Je vous laisse chercher les différences entre ces 4 conventions, petit exercice de classification qui vous permettra de fabriquer, par exemple, des cartes de nom (recto), définition (verso).

Comment comprendre les bases et surtout en parler avec les enfants (en classe élémentaire au minimum) ?

C’est la question qui m’est posée par une directrice d’école Montessori.

Bien sûr, Maria Montessori n’avait pas prévu qu’on inventerait ce terme de Biodiversité. En revanche, elle avait prévu l’étude de l’interdépendance, de l’interbiodiversité ou de la Bio-interdépendance (néologismes de Murielle Lefebvre) dont nous avons parlé hier.
C’est donc dans l’éducation cosmique (qui contient la biodiversité d’aujourd’hui) qu’il va falloir piocher du matériel et des leçons pour les enfants. Car il ne s’agit pas de se transformer en super éducateur et de se précipiter à fabriquer du matériel à tout bout de champ.

Je conseille aux équipes pédagogiques de rester zens et de rester concentrées, la COP16 Biodiversité n’échappe pas aux conseils et ne pas se précipiter sur cette question plus qu’une autre est essentiel.

Préparer une présentation de base sur le sujet et proposer aux enfants d’aller eux-même chercher des réponses, si et seulement si, le sujet les motive, les amener à présenter leur étude à leurs camarades, à des parents, à d’autres jeunes. L’organisation de leurs idées, la préparation d’une transmission d’informations (et la représentation), la prise de parole, c’est de ceci dont il s’agit; plus que de la COP16 Biodiversité qui n’est que de passage dans le cours de leur vie (et de la nôtre aussi !)

 

 

 

 

Biodiversité, tout le monde en parle, qu’est-ce que c’est précisément ?

Il ne se passe pas une journée sans que j’entende le mot BIODIVERSITE. Et vous ?

Ce mot a été créé par un biologiste américain Walter G. Rosen, lors d’un colloque aux États-Unis en 1985.

Le musée national d’histoire naturelle nous en donne une définition sur son website :

https://www.mnhn.fr/fr/qu-est-ce-que-la-biodiversite

« Derrière ce concept se cachent donc aussi bien la notion de nombre d’espèces présente dans un milieu que celle de leur diversité (combien d’espèces différentes s’y trouve), d’abondance (nombre d’individus de chaque espèce) ainsi que leur variabilité, c’est-à-dire les évolutions constantes de tous ces éléments. »

Je vois une faute d’orthographe à « trouve » et puis je ne saisis pas la différence entre « notion de nombre d’espèces » et « diversité », s’il s’agit de combien il y en a, comme écrit dans la parenthèse ?

Par ailleurs, je suis d’accord sur l’aspect « se cacher » de la définition; car cette définition semble soit trop simpliste : il faut compter tout ce qui est vivant, soit complexe et donc, compris par seulement les créateurs du terme. Qu’est-ce qu’on nous cache alors ?

Continuons.

Savez-vous qu’il existe en France un Office Français de la Biodiversité ? Il a été créé le 1er janvier 2020 de la fusion de l’Agence française pour la biodiversité et de l’Office français de la chasse et de la faune sauvage. Trois mille agents y travaillent et le budget 2024 de l’OFB est de 659 millions d’euros.

Ah oui, tout de même !

Je vous laisse découvrir comment est utilisé cet argent : https://www.ofb.gouv.fr/sites/default/files/Fichiers/Presse/CP_SNB_Budget_OFB_2024%20_vf.pdf

Revenons aux réalités à l’échelle humaine.

Le terme BIODIVERSITE est un « mot valise », utilisé à tort et à travers, ou comme un joker aussi quand certains parlent du monde du Vivant. Alors que je mets au défi n’importe quelle personne (moi comprise) de citer trois noms de plantes (non cultivar) de son entourage ainsi que trois noms d’animaux (il ne reste plus que des insectes et des oiseaux dans le monde du vivant visible en ville).

Ce que je constate, c’est que lorsqu’on coupe un arbre, on condamne des insectes, des oiseaux, parfois des nids. Quand on utilise des produits insecticides, certes on tue les insectes, mais on impacte d’autres éléments du vivant. Quand on jette nos déchets, on déclenche une autre chaîne du vivant, etc.

Bref, le vivant est partout, nous en faisons partie et nous avons un impact sur ses multicycles.

Ce qui m’a amenée à créer un autre terme, celui de BIO-INTERDEPENDANCE. Je le trouve plus représentatif et plus impliquant dans l’utilisation. Car le vivant ne peut exister sans connexions. L’homme dépend de la Nature. Les plantes, les animaux et les hommes sont interdépendants les uns des autres.

Nous enseignons ceci aux enfants avec les leçons issues de l’Education Cosmique de Maria Montessori.

Et vous, que pensez-vous de la biodiversité ?

PS : récemment j’ai entendu le terme « Géodiversité ». Allons-nous vers les déclinaisons, non pas latines mais modernes, de ce terme « diversité » ? A quand l’humanodiversité ? La religiodiversité ?)

 

 

 

L’IA ne remplacera pas les passeurs de Sciences

J’ai déjà expliqué comment se transmet la philosophie de Maria Montessori : d’humains à humains.

Je suis bien placée pour vous affirmer ceci :

1) J’ai créé (avec le concours technique de mon époux) le premier site internet sur le sujet, c’était il y a 29 ans. Nous avons transmis ce que nous savions, apprenions et recevions des autres, par plusieurs canaux dont le principal, notre website : montessori.fr.

2) J’ ai créé le premier service de formations Montessori en français, à distance, en 2013.

Alors que je vous écris, c’est une petite voix dans ma tête qui dicte les mots. Et vous me lisez.
Ce que je vois, je lis, j’étudie ou j’écoute de mes interlocuteurs passe parfois dans les posts de ce website.

Je continue à faire confiance dans les humains pour me transmettre une partie de leurs savoirs. Je ne pense pas qu’ils puissent être remplacés par la machine, seulement aidés -et sûrement de mieux en mieux-.

Selon moi, l’intelligence humaine dépasse tous les possibles. Donc toutes les techniques, si performantes soient elles ne pourront rivaliser. La transmission humaine est inimitable, car chargée d’une infinités d’attributs et de subtilités.

Ainsi, aujourd’hui, j’ai envie de vous faire découvrir ce qu’écrit un botaniste français, Gérard Guillot, qui publie une newsletter à laquelle je suis abonnée. Je le remercie de son travail de fourmi (jeu de mots -).

Celle d’hier, envoyée à ses adhérents, m’a permise de découvrir ce que sont les espèces animales saproxyliques, adjectif jusqu’à maintenant inconnu de ma personne.

Invertébrés du bois mort : la communauté des saproxyliques-Ch. 1

Murielle Lefebvre

Une méthode audio-psycho-phonologique créée par un Français

J’ai pu assister à une session de 2 jours avec Marie-Ange Fournier, thérapeute audio-psycho-phonologique qui propose aux particuliers (enfants ou adultes) et aux enseignants des outils pour rééduquer l’écoute et donc donner de la confiance, aiguiser l’attention, la compréhension…
Nous étions des adultes d’un même groupe de théâtre amateurs et nous avons effectué divers exercices sur le corps, la voix, l’écoute. Ce fut très, très intéressant et étonnant pour chacun de nous de découvrir notre potentiel humain phonétique encore exploitable !

Voici le site de Mme Fournier :

Je vous propose également cette vidéo, comme explication de la méthode Tomatis.

https://www.youtube.com/watch?v=3NlR-Vt1VRU&ab_channel=MarcKhanne

Vous y entendrez parler une fois de plus des lobbies (comme celui des orthophonistes français, mené à l’époque par Mme Borel Maisonny) qui ont toujours le dernier mot, hélas !

Il y a une quinzaine d’années au moins, j’avais eu connaissance de cette thérapie audio-phonologique en rencontrant une maman dont le fils bénéficiait (en cabinet privé) de l’application de cette méthode. Cela m’avait paru, à moi aussi, je l’avoue, un peu « chamanique ». Mais le jeune garçon d’une dizaine d’années en disait beaucoup de bien.

En conclusion, je dirais que ce genre d’outil thérapeutique est à connaître et essayer par ceux qui en ressentiraient l’attirance.

Et pour Alfred Tomatis, médecin ORL et chercheur rejeté par ses compatriotes : une fois de plus, nulle n’est prophète en son pays.

Mort annoncée d’écoles Montessori en France

Hier, je rendais visite à l’équipe d’une école Montessori, en Province française.
Pour la dernière journée, avant les vacances scolaires de la Toussaint, la directrice (que je connais depuis 15 années, date d’ouverture de son école maternelle et primaire) m’explique qu’elle a prévu un petit déjeuner avec les parents. Les enfants et leurs éducatrices ont fabriqué des gâteaux, ont réalisé des affiches pour une matinée conviviale. Tout a été préparé.
Ou presque, puisqu’il est 19h et que la directrice m’explique qu’elle se retrouve, une fois de plus depuis le début de la semaine, sans nouvelle de la part de l’équipe de ménage qui doit venir chaque soir dans l’école pour nettoyer les sanitaires, les espaces cuisine, les salles de classe, l’accueil…
La directrice me dit que l’entreprise qui emploie le personnel de ménage ne répond pas à ses appels téléphoniques et qu’elle va devoir faire, elle-même, le ménage, jeudi soir à 20h ! Je décide de l’aider et ensemble, nous voilà au travail durant plus d’une heure pour faire briller les locaux de cette petite école qui le lendemain matin accueillera les familles.

Cette anecdote est l’une parmi les nombreuses que me racontent au quotidien les professionnels des écoles privées hors contrat en France.
Le métier d’éducateur ou de directeur de ce type d’école est de plus en plus difficile, sous des pressions de plus en plus nombreuses, dont celles qu’exerce désormais l’Education Nationale.
J’ai connu l’époque où cette institution ne s’intéressait ni à l’instruction en famille ni aux écoles hors contrat. C’était il y a seulement quelques années. Quasiment aucun contrôle n’était effectué, alors qu’ils étaient obligatoires. Ni les directeurs d’écoles ni les parents instruisant en famille ne les réclamaient, évidemment.
Hélas, tout a changé et d’un état d’absence de contrôle nous sommes passés à un état de pression permanente, autoritaire et écrasante sans aucun dialogue possible.

D’autres raisons majeures poussent les écoles à fermer. Nous les évoquons régulièrement.

Les familles abandonnent l’idée d’instruire leurs enfants et les directeurs d’écoles privées hors contrat craquent les uns après les autres.

Ces écoles sont vouées à disparaître. Seuls des regroupement d’écoles gérées sans âme par des financiers survivront. Année après année, je rencontre des directeurs et des éducateurs qui vont fermer l’école dans laquelle ils auront mis leurs efforts et leur coeur, durant, parfois, plusieurs décennies.

Les Français aurons TOUS perdu cette richesse de propositions alternatives aux familles. Des familles d’enfants autistes, d’enfants à troubles de comportement, d’enfants DYS, d’enfants multilingues, d’enfants en échec scolaire, d’enfants timides, d’enfants, tout court.

Qu’on se le dise !

Murielle

PS : mon prochain post sera très joyeux, promis. Mais hier soir, j’avais le coeur triste pour les personnes qui défendent la liberté de choix d’éducation parentale.

 

 

 

Ouragan et santé mentale

Alors que l’ouragan Milton vient d’impacter la côte ouest de la Floride, où j’ai travaillé comme éducatrice Montessori dans une école Montessori à Charte, je pense aux enfants et leur famille, aux habitants, aux professionnels de ces lieux que j’aime particulièrement.

Les événements climatiques n’ont pas de loi et touchent les individus sans regard sur leur statut. Riche ou pauvre, adulte ou enfant, travailleur ou non, l’ouragan marquera la vie de chacun.

De ces événements tragiques et de la détresse qui en découlent, nait une solidarité spontanée et forte, souvent internationale qui, elle non plus, n’a pas de barrières sur l’âge, le statut ou l’histoire de l’individu.

En cette journée dédiée à la santé mentale, nous souhaitons faire passer le message de l’importance de la prise en compte du soin mental, à tout âge.

Notre santé mentale détermine notre bien-être quotidien. C’est la somme intérieure et singulière de tout ce qui ne se voit pas en chacun de nous : nos pensées, notre chemin de vie, nos émotions, nos valeurs, nos objectifs…et cette somme est plus importante que ce qui se voit de l’extérieur.

En prendre soin est essentiel.

Je suis éducatrice du mental (terme que j’ai créé à l’issue de ma formation en coaching mental en 2020) et je puise dans mes différents registres pour vous accompagner en individuel ou en groupes. Des éducateurs(trices), des équipes professionnelles, des sportifs en ont déjà bénéficié.
J’ai créé « la posture des 5 » S il y a quelques années dont un des S concernait le Soin et un autre la Santé.

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Chaque jour, des enfants touchés par des événements catastrophiques (naturels ou non) sont impactés mentalement. L’accompagnement mental est indispensable à leur mieux-être.