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Méthode OML

On apprend une langue par les oreilles et pas par les yeux

Sauf handicap, nous apprenons les langues par les oreilles et non pas par les yeux.

Quiconque se confronte à l’apprentissage d’une langue (non maternelle puisque celle-ci a un schéma d’apprentissage très spécial) ressent les difficultés à l’acquérir.

Il faut une période de temps longue qui sera raccourcie si les interactions sociales existent au cours de l’apprentissage. On parle « d’immersion » dans un pays pour booster l’apprentissage de la langue. Elle est indispensable. Sinon ce serait apprendre le piano en écoutant un pianiste jouer, en regardant des vidéos ou en écoutant un professeur parler de cela, sans jamais jouer soi-même sur le clavier.

Ensuite, il faut de la répétition et de l’entretien. A force d’entendre les formules de construction de phrases, on finit pas les « avoir à l’oreille ». Bien sûr on soutient l’apprentissage auditif par le visuel, mais celui-ci n’est qu’un soutien.

L’entretien est très important aussi. J’ai rencontré une française de 80 ans, vivant aux USA depuis ses 20 ans et elle avait « perdu » son Français maternel m’expliquait-elle. Elle se rendait à des cours de français dans la ville où je vivais pour le « retrouver » un peu.

En conclusion pour apprendre une nouvelle langue il faut que nos oreilles l’écoutent et l’entendent en immersion et durant des années.

Apprentissage d’une langue = Immersion sensorielle récurrente  + Temps + Répétitions

 

 

 

Cartes de vocabulaire thérapeutique médical pour le collège-lycée Montessori

J’ai toujours créé des matériels didactiques, c’est une de mes activités innées et spontanées depuis que je suis toute petite. J’aime transmettre et pour le faire il faut apprendre. L’un ne va pas sans l’autre.
Comment transmettre quand on n’a pas soi-même compris quelque chose ? Mais attention, transmettre ne veut pas dire déverser ses connaissances. Transmettre nécessite des qualités pour observer, écouter et s’adapter aux interlocuteurs auxquels on souhaite transmettre. Il faut également que « la cible » soit ouverte, car s’il y a un frein, le savoir va s’évanouir.

Aujourd’hui, je voudrais vous parler des cartes de vocabulaire thérapeutique médical que j’ai conçues. Elles sont simples, faites à la main – mais elles ont demandé des heures de recherches car il faut être certains de ce qu’on apprend ou enseigne -.
Comme dans tout matériel didactique montessorien, il faut prévoir la correction de l’erreur. Alors au recto, j’ai écrit l’adjectif et au verso sa définition.

Il y a 45 cartes. Je conseille de les classer par ordre alphabétique pour retrouver facilement une définition.
Elles sont utiles pour tous, à partir de 15 ans (plus jeunes si motivés), donc pour les jeunes en collège et lycée Montessori. Les étudiants allophones en Médecine en France peuvent les utiliser aussi.

On joue, par exemple, à donner des définitions à un adjectif, ou à l’inverse à dire l’adjectif à partir de la définition (écrite au verso).
Comme dans bon nombre d’apprentissages, la répétition et la mise en contexte s’imposent pour devenir maître du savoir.

Voici quelques photos de ces 45 cartes. J’ajoute des nouvelles cartes de temps en temps car la langue française est indéfiniment riche.

Je précise enfin que ce matériel entre de plein pied dans le parcours éducatif à la santé pour le collège-lycée !

En complément, voici un lien vers un lexique en ligne :

Lexique des Vertus Thérapeutiques des Plantes

Murielle Lefebvre
Consultante en pédagogies humanistes et holistiques
Spécialiste de la pédagogie Montessori
Créatrice de la méthode d’apprentissages des langues OML
Coach du mental
Apprenante en botanique & phytothérapie

 

Disparition de l’écriture cursive et de la lecture ?

Prenons le temps de parler de choses sérieuses en train de se passer sur deux compétences fondamentales de notre société moderne que sont l’écriture manuscrite et la lecture.

Ces deux compétences ont été transmises et acquises au fur et à mesure de l’histoire de l’humanité. Nous les présentons notamment aux enfants dans le cursus  d’éducation cosmique montessori.
Ce qui nous distingue des autres mammifères, c’est l’utilisation spécialisée de nos mains, et l’utilisation de notre intelligence (multiple).

Mais qu’en est-il de ces deux compétences actuellement ?

Pour les jeunes chanceux qui apprennent à écrire, -eh oui des millions de jeunes dans le monde n’ont pas cette chance- force est de voir, et donc de croire, qu’ils pratiquent de moins en moins l’écriture manuscrite. Le monde dit moderne, leur propose un autre outil d’écriture appelé clavier. Il y a aussi le trackball ou d’autres outils certes manipulés par nos doigts, mais ne faisant pas appel au même process dans le cerveau de celui qui écrit avec un crayon ou un stylo.

Ce matin, j’étais présente, en tant que bénévole, à la session de réinscription du club de tennis pour enfant. Et j’ai eu la joie de voir un papa proposer à sa fille, en classe primaire, de remplir elle-même sa fiche d’inscription, avec un stylo. Cette fillette s’est appliquée durant de longues minutes, tirant la langue pour écrire les majuscules en cursif. Je l’ai encouragée puis félicitée en lui disant que cela aller être la plus belle fiche de la matinée ! Et ce le fut !

Si nous n’y prêtons pas attention, bientôt, l’homme ne saura plus former de lui-même des lettres, cad, former des mots. Tout geste humain non exécuté s’affaiblit et se perd, je ne vous apprends rien de nouveau. C’est ce qui est en train d’arriver pour vous, pour les enfants et pour moi. Moins nous écrivons moins nous savons écrire.

D’autre part, moins on lit des écritures manuscrites, moins on sait les lire. Mon frère est paléographe et son oeil avisé lit de l’ancien français écrit que je ne peux absolument pas lire moi-même !
Je m’étais déjà rendue compte que lire une écriture manuscrite étrangère n’était pas facile, lorsque j’étais éducatrice Montessori aux USA.
Donc moins je lis d’autres écritures manuscrites, moins je saurai en lire.

On sait bien aussi que moins on écrit (dans le sens construire) de mots, moins on sait les écrire, car l’orthographe a ses raisons. Par conséquent, soyons avisés de ce risque de perte de la capacité d’écrire manuscrite, et ce qui en découle : savoir écrire correctement l’orthographe des mots.

Voyons la lecture, désormais.

Les adolescents que je côtoie dans mon entourage m’ont dit, pour la plupart, ne pas aimer lire, voire même ne pas être capables de lire un livre. Ils préfèrent écouter et regarder une vidéo, un podcast, sur leur téléphone… Et bon nombre se disent incapables d’écouter au-delà de quelques minutes et souhaitent zapper en permanence ou accélérer les images et les sons.
Sur cette compétence également, moins nous lisons, moins nous serons capables de lire. Et les compétences « écouter et regarder » prennent de plus en plus le dessus, il faut l’avouer, sur l’activité de lecture.

Par conséquent, un groupe d’individus ne pourra plus communiquer avec d’autres individus. C’est déjà le cas, me direz-vous puisque le langage n’est pas universel.
La question est-elle individuelle ?
Je pense que choisir son mode de communication et ses outils, mène à restreindre ses propres potentiels et ses échanges.
Je continue chaque semaine à perfectionner les trois langues que j’aime, y compris ma langue maternelle, dont je ne serai jamais sans surprise tant l’homme est allé chercher un mot pour décrire chaque détails de son environnement et de son ambiance (mes thèmes favoris !). J’ai tenté d’en apprendre quelques autres, en vain car les efforts sont parfois très difficiles (comme pour le Grec moderne par exemple !). Je sais que plus j’écrirai, plus je lirai, et aussi plus je regarderai et écouterai, plus j’ouvrirai à l’interconnexion le monde que l’Homme s’évertue à créer depuis l’aube de son temps.

Merci de m’avoir lue -)

PS : Des vidéos sur la méthode d’écriture/lecture que nous avons développée il y a 10 années :

Vidéos

 

Et encore sur l’illetrisme et la dyslexie :

 

 

 

 

Nos enfants seront trilingues

J’ai parlé aujourd’hui avec une consultante montessori américaine trilingue qui travaille à l’American Montessori Society. Comme moi, elle a un parcours familial et professionnel multilingue qui nous amène à échanger sur le sujet et envisager comment aider les enfants à maîtriser trois langues.

Même si nous avons les trois mêmes langues en commun (anglais, espagnol et français) nos parcours ne sont pas du tout les mêmes. Elle est née en Equateur, moi en France. Elle vit aux USA, j’y ai vécu quelques temps. Elle a appris le français en Equateur, dès ses 4 ans, d’enseignants français. J’ai appris l’anglais d’enseignants de langue native française à partir de 11 ans seulement. Ces informations ont un intérêt quant à l’impact sur la maitrise de chaque langue.

Durant notre conversation, elle me parlait en espagnol et je répondais en français. Notre niveau de chaque langue nous le permettait.

Tout le monde dit aujourd’hui qu’il faut apprendre les langues de façon précoce. Oui mais pas dans n’importe quelle condition. Il faut un « enseignant » natif, motivé et motivant.

Tout le monde dit aujourd’hui qu’un bilingue apprend facilement d’autres langues. C’est faux, encore une fois tout dépend du contexte et de la motivation.

Tout le monde dit aujourd’hui qu’une langue ne s’oublie pas, surtout la langue maternelle. J’ai rencontré une française qui vivait aux USA et avait tout oublié de sa langue maternelle. Elle avait 70 ans et avait immigré à 20 ans aux USA.

L’apprentissage des langues est un sujet passionnant.

Si l’on veut parler une langue, il n’y a pas d’autres solutions que de se retrouver dans de vraies situations d’échanges oraux et sociaux. C’est ce qu’on nomme des « immersions ».

Pour lire une langue, c’est un peu différent;  je pense qu’on peut le faire plus facilement, à travers des cours académiques dans des livres et sur l’internet. Peu à peu on apprend par soi-même à décoder dans sa tête. Pas besoin de prononcer les mots.

Ecrire est encore un autre type de compétences qu’on peut acquérir à travers des échanges sociaux avec des correcteurs. Je ne pense pas que les outils numériques soient pour le moment à la hauteur de le faire, tant les langues écrites sont torturées par les conjugaisons, les exceptions orthographiques, la grammaire, l’évolution linguistique, etc.

Mon interlocutrice et moi-même nous sommes retrouvées dans des postures professionnelles de mise en place de méthodes et d’outils didactiques des langues. Pour ma part, j’ai même créé une méthode pour développer le codage et décodage du français (et d’autres langues). Car parler une langue, c’est avant tout en prononcer correctement les sons, les intonations. Sinon, personne ne nous comprend ! C’est placer l’accent à l’endroit où il doit l’être. Sinon on peut faire peur ou faire sourire !

C’est ce que propose la méthode OML, basée sur le multisensoriel. On montre ou trace les graphèmes, on prononce les phonèmes, l’apprenant les voit et les répète oralement.

Alors sans des outils didactiques bien conçus pour cela et une répétition régulière des mots, des conjugaisons, du vocabulaire et des idiomes, sur plusieurs années, pas de 2e langue ni de 3e langue. Depuis trois années, je perfectionne la langue espagnole avec des anglophones. Ce qui me permet de réviser l’anglais aussi, double bénéfice !

Dans une Europe dont la population augmente et bouge de plus en plus, je pense que la maîtrise de trois langues est un atout, et sera peut-être indispensable pour se comprendre et se parler de nos différences dans l’avenir.
Nous sommes bilingues, nos enfants seront trilingues.

¡Ojalá fuera seguro!

 

La méthode OML présentée en Floride en janvier 2024

En Floride, la semaine prochaine, lors de conférences Montessori, nous aurons la grande joie de présenter la méthode OML créée par Murielle Lefebvre.

Chaque science possède son langage

Approcher le monde vivant c’est apprendre des langues.
La langue botanique possède un vocabulaire très pointu (10 000 mots d’après l’auteur de l’ouvrage ci-dessous) et si peu usité qu’on ne peut le comprendre si on ne l’étudie pas un minimum.

Voici un outil indispensable pour apprendre cette langue :

Je vous laisse lire ce paragraphe et jauger ce que vous connaissez de notre riche langue française :

Bursicule : Dans la fleur des orchidées, désigne deux petites alvéoles creusés au sommet du gynostème dans lesquels se forment les rétinacles visqueux où viennent s’attacher les caudicules issues des pollinies.

Je me plonge dans cette langue depuis plusieurs mois et il m’en faudra encore quelques uns pour pouvoir converser avec mes collègues !

Les enfants aiment accéder à ce nouvel univers jamais vu grâce à la loupe botanique et le microscope USB. L’infiniment petit les étonne, les passionne. A partir du sensoriel de terrain, nous apprenons peu à peu la description puis la classification. C’est un nouveau monde féérique, explosion de diversité, couleurs et lumières qui s’ouvre à tous.

Nous avons bien besoin de tout ce que la Nature nous enseigne et nous apporte, pour nous sentir heureux et vivants !

Venez découvrir vous aussi ce monde du vivant dans la formation d’éducateur(trice) Montessori pour les enfants de 6-12 ans.

 

Découvrons la finesse du langage

Grâce à la pédagogie de Maria Montessori et à son matériel atypique, l’enfant découvre par lui-même toute la finesse de sa langue : vocabulaire, conjugaisons, préfixes, synonymes…

Un bel artifice de langue pour apprendre à s’exprimer le plus justement possible, expliquer de ce qu’on ressent, décrire ce qu’on fait et narrer ce dont on rêve !

Venez vous former et manipuler vous aussi tout ce matériel sensoriel pour apprendre une langue !

La LSFBB fait le bonheur de tous !

Une assistante maternelle qui vient de finir sa formation e-learning sur la langue française des signes pour bébés nous écrit :

Bonjour Murielle, 

Me voilà au bout de ma formation LSFBB avec le dernier cours réalisé hier.
Comme vous avez pu le constater, j’ai pris mon temps pour faire cette formation car j’ai souhaité mettre en pratique au fil des leçons ce que j’apprenais.
Donc afin de que chaque nouvel apprentissage soit bien intégré et assimilé, je me tenais à un maximum de 3 cours par semaine.

Merci pour cette formation très riche et ludique, qui permet à chacun de pouvoir acquérir les bases de la LSF selon ses propres rythmes et affinités.

En effet personnellement c’est en mettant en pratique à travers les phrases proposées que j’ai pu avancer sans difficulté dans mes apprentissages, et les enfants que j’ai en accueil se sont régalés avec les chansons signées qu’ils redemandent régulièrement.

Quel bonheur après à peine 2 mois de mise en pratique de voir G. 7 mois et demi me signer « couche » (à sa façon certes mais le mouvement des mains était bien là) et son visage rayonnant lorsque je suis allée la changer : elle avait été comprise !

L. 16 mois ne parle pas encore, et s’est très vite approprié les signes : encore, gâteau (au hasard ! 😉 ), eau, boire… mais aussi : câlin, musique, écouter.

Je suis stupéfaite de constater avec quelle facilité ils s’approprient la LSF !

En dehors de ces « nouveaux » échanges sans prix, c’est également de voir la satisfaction de mes parents employeurs de me voir utiliser la langue des signes avec leurs enfants qui me conforte dans mon bon choix de vouloir la proposer dans notre quotidien.

Voilà vous l’aurez compris suite à ma formation LSFBB je vais la proposer et l’intégrer dans mes activités/ateliers du quotidien 😉

Nos chansons sont maintenant également toutes signées.

Merci pour ce magnifique cadeau que vous m’avez fait.

Au plaisir

Hélène

Faute ou pas faute ?

 A l’heure où je vous écris, je reçois chaque jour beaucoup d’emails. De très loin parfois comme le Burkina Faso hier, de personnes très différentes comme celui d’une scaphandrière de métier, il y a quelque temps ! Mais aussi des emails issus de fournisseurs de services, très étatiques dirons-nous sans les citer directement. Quand je les lis, je me dis que je ne fais pas plus de fautes qu’eux et cela me rassure. Mais est-ce qu’il faut se rassurer pour autant ou pas ?

Actuellement au sein de notre organisation associative, nous passons des heures à traquer les fautes de nos contenus en priorité sur la plate forme des formations online, qui est un bel outil certes, mais qui n’a pas été conçu pour que l’on puisse aisément mettre un document à jour, rien que parce qu’on a oublié un S a un mot !

Résultat, il faut compter parfois une heure pour seulement ajouter un S manquant. Est-ce rentable, faisable, durable ? Je pense que non.

Alors que faire ? Faut-il laisser l’orthographe français évoluer de sa belle vie ? Faut-il lâcher prise comme on dit ?

coucher-soleil-unique
Je vous laisse lire par vous-même les limites de ce laxisme :

EUROPEENS, ATTENTION, CECI VOUS CONCERNE :

La Commission européenne a finalement tranché : après la monnaie unique, l’Union européenne va se doter d’une langue unique, à savoir… le français.

Trois langues étaient en compétition :
– le français (parlé par le plus grand nombre de pays de l’Union)
– l’allemand (parlé par le plus grand nombre d’habitants de l’Union)
– l’anglais (langue internationale par excellence)

L’anglais a vite été éliminé, pour deux raisons :
l’anglais aurait été le cheval de Troie économique des Etats-Unis et les Britanniques ont vu leur influence limitée au profit du couple franco-allemand en raison de leur légendaire réticence à s’impliquer dans la construction européenne.

Le choix a fait l’objet d’un compromis, les Allemands ayant obtenu que l’orthographe du français, particulièrement délicate à maîtriser, soit réformée, dans le cadre d’un plan de cinq ans, afin d’aboutir à l’eurofrançais.

1. La première année, tous les accents seront supprimés et les sons actuellement distribués entre « s », « z », « c », « k » et « q » seront répartis entre « z » et « k », ze ki permettra de zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.

2. La deuzieme annee, on remplazera le « ph » par « f », ze ki aura pour effet de rakourzir un mot komme « fotograf » de kelke vingt pour zent.

3. La troizieme annee, des modifikations plus draztikes zeront pozzibles, notamment ne plus redoubler les lettres ki l’etaient : touz ont auzi admis le prinzip de la zuprezion des « e » muets, zourz eternel de konfuzion, en efet, tou kom d’autr letr muet.

4. La katriem ane, les gens zeront devenu rezeptif a de changements majeurs, tel ke remplazer « g » zoi par « ch », zoi par « j », zoi par « k », zelon les ka, ze ki zimplifira davantach l’ekritur de touz.

5. Duran la zinkiem ane, le « b » zera remplaze par le « p » et le « v » zera lui auzi apandone, au profi du « f ».
Efidamen, on kagnera ainzi pluzieur touch zu le klafie.
Un foi ze plan de zink an achefe, l’ortokraf zera defenu lochik, et le chen pouron ze komprendr et komunike. Le ref de l’Unite kulturel de l’Europ zera
defenu realite !

Je retourne à mes corrections, celles d’éducatrice (donc des enfants) et celles de formatrice (donc des adultes) !