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Méthode OML

Soyons positifs ou communiquons positif ?

Je suis étonnée de voir passer des messages émis par des personnes d’organisations qui prônent tout ce qui est à la mode : Bienveillance, Education positive, Bientraitance, Parentalité positive, etc… avec des messages eux-mêmes très négatifs. Je vous laisse contempler quelques affiches :

Si vous vous y retrouvez dans l’usage des négations grammaticales de ces phrases, bravo à vous.
Pourtant le BAB dans le coaching parental n’est pas de dire aux parents « ARRETEZ » mais plutôt « AGISSEZ ».

Je vous souhaite une belle journée

Ecoles fermées à Casablanca

Une ancienne stagiaire de nos programmes de formation, qui travaille dans une école internationale de Casablanca au Maroc nous avertit que les écoles sont fermées depuis hier et le couvre-feu a été instauré.

Comment mettre en place un enseignement à distance dans ces circonstances ?

Nous y travaillons avec vous et pour vous, enseignants et parents.

Un mauvais geste et tout change !

  (photo personnelle non liée à l’article ci-dessous)

Cette nuit, le grand tennisman M. Djokovic a été disqualifié à cause d’un geste de frustration lors d’un match de l’US OPEN.
Et alors ? me direz-vous.  Eh bien ce geste, d’envoyer une balle derrière lui de colère, a eu pour conséquence de blesser une arbitre qui a reçu la balle dans la gorge !

Il y avait très très peu de chance pour que cela arrive, mais c’est arrivé.

Cela me donne l’occasion d’illustrer plusieurs faits :

1) les grands sportifs sont sous pression, plus grande peut-être que les autres, mais ils le sont quoiqu’ils fassent. D’où la nécessité d’être coaché mentalement quelque soit son niveau.

2) tout geste a une conséquence, sur soi, sur les autres. Et cela peut être négatif. Et même un grand joueur comme Djoko n’effacera pas ce qui est arrivé.

3) notre mental est ce qui nous gouverne, qu’on l’accepte ou non (attention je ne parle pas des émotions, sous-ensemble, du mental).

Rappelons à chacun que nos actes déclenchent des émotions, des faits, des réactions, chez nous et chez les autres et que l’inverse est vrai également  : les faits, les réactions, les émotions déclenchent nos actes.

Le coaching mental parental aide les parents à prendre conscience de cela et cela déteint positivement sur leurs enfants puis sur tout le monde.
Le coaching mental des éducateurs les aide à garder confiance dans leurs compétences, faire grandir leur estime et leur permet de mettre en place des parades à ce qui fait fléchir leur mental.

Je peux vous accompagner dans cette direction

Murielle Lefebvre

 

 

 

Offre exceptionnelle spéciale rentrée !

Nous avons la joie de proposer à toutes les personnes intéressées (ordinairement ces modules s’adressent uniquement aux éducateurs formés 3-6 ans) une formation en ligne aux Grandes Leçons Montessori.

Voici une vidéo extraite de la formation « tout en ligne » pour que les éducateurs présentent les cinq grandes leçons montessoriennes aux enfants âgés entre 6 et 12 ans :

Cette formation vous mettra en appétit pour suivre les autres modules que nous proposons pour devenir un éducateur Montessori auprès des enfants (jusqu’à l’âge d’entrée au collège).

Car nous avons concocté un programme très alléchant pour vous aider à faire voyager dans le temps les enfants et permettre leur imagination de s’exprimer !

Attention, l’inscription à cette formation n’est accessible que courant septembre 2020. Et elle vous permet l’accès aux contenus durant 6  mois pleins.

Si vous souhaitez plus d’informations, cliquez ici. A très bientôt pour faire ce beau voyage avec vous !

Message de rentrée pour les professionnels de l’Education

Message de rentrée pour les parents

Qu’est-ce que le CARE ?

Prends soin de soi si on prend soin des autres.

Tous les professionnels ayant un contact humain relatif au soin (Care dit-on actuellement) ont besoin d’un accompagnement psychologique et mental. Attention, le terme soin, n’a rien à voir avec l’action de « soigner la plaie » d’un enfant tombé de vélo par exemple, il s’agit d’un ensemble d’actes plus larges dirigés vers une personne ou un groupe de personnes envers lesquels on a de la sollicitude.

Quand on soigne un individu, il faut nous-même être en bonne santé psychologique et mentale, sinon le soin en pâtit d’une part et ne prenant pas soin de nous on risque le désastre pour nous aussi.

Prendre soin de soi c’est simple en somme : respecter les règles d’hygiène de vie (nourriture, sommeil, exercices physiques,  relations saines).  Prendre soin des autres, c’est moins simple car cela demande de l’écoute, de l’observation, une prise de distance émotionnelle, de la patience, de la compréhension.

Murielle Lefebvre propose du soin aux directeurs d’école, aux éducateurs, aux parents, car elle est elle-mêmes coachée pour pouvoir le faire. Vous aussi recevez du soin pour pouvoir en donner ! Prenez contact et prévoyons ensemble le soin qui vous conviendra. Cliquez ici

 

La grande Nature

Ce paysage a été façonné par l’homme : une plantation de grands tournesols qui seront bientôt coupés pour être transformés en produits de consommation. Qu’il soit le prétexte d’entamer une conversation avec nos enfants sur la biologie, la géographie ou le climat. C’est important d’être en connexion avec la nature qui nous environne, car nous avons un impact sur elle et vice-versa.

Vous pouvez par exemple entamer la conversation par une approche sensorielle : Que sens-tu ? Entends-tu ?
Touchez la terre, la  plante, la fleur. Quelle sensations as-tu ?
Le tournesol est parfois aussi haut qu’un adulte, alors l’enfant peut se sentir tout petit à côté de cette plante.

 

Foncer à vélo, avec un bébé, sans casque !

Je me baladais hier en vélo sur des petites et moyennes routes provinciales. Je précise que je roule en vélo électrique depuis une année afin d’allonger mes parcours et de maintenir un rythme. Tout à coup, je suis dépassée par une fusée : un jeune homme avec un bébé en portage sur un siège à l’arrière du vélo. Aucun des deux n’avait de casque, cela me saute aux yeux et étant donné leur vitesse, j’en fus étonnée, puis attristée.

Ils vont si vite que je ne les vois plus à l’horizon devant moi. Je les oublie.

Peu après, je les double car ils se sont arrêtés pour observer des chevaux dans un pré. Je continue donc mon chemin, tranquillement, sur le plat, à bonne allure. Tout à coup de nouveau, je suis dépassée par ce jeune homme et le bébé. Comme s’il s’amusait à prouver qu’il est capable de rouler vite, plus vite même qu’un vélo électrique. Nous amorçons une descente et il baisse la tête pour aller encore plus vite.

Je reste encore triste du comportement de ce monsieur. Pour savoir ce qu’un traumatisme cranien occasionne à un adulte comme à un enfant, je trouve cette attitude très irresponsable et égoïste. Et pire, en dehors des lois ou réglementations.

Plus que jamais, je me dis que la Posture des 5 S : Securité, Santé, Soins, Spiritualité et Spatialité, gagnerait à être connue. Protégeons nos enfants (et nous-mêmes) !

Revoyez les équipements obligatoires indiqués sur le site de la sécurité routière :

https://www.securite-routiere.gouv.fr/reglementation-liee-aux-modes-de-deplacements/velo/equipements-obligatoires-velo

Pleurs de nouveau-né

Je me promenais avec mon mari et mon fils lorsque tout à coup j’ai capté les pleurs d’un jeune bébé. – Je suis très sensible à cela et  mon coeur se serre lorsque j’entends un bébé pleurer. Cela doit venir de mon enfance et de ma sensibilité aux enfants.-

La maman était dans le jardin, assise sur un banc, en train de tenir le bébé face à elle, à la hauteur de son visage et elle le grondait en lui disant fermement et en le secouant « Arrête de pleurer ! » Elle répétait cela inlassablement.

Pourquoi ? Pour se décharger, car pour trouver une solution à ce problème ce n’est pas la voie à entreprendre, en tous les cas celle que je conseille.

Tout d’abord, il faut chercher de l’aide extérieure. Prendre soin d’un nouveau-né est très éprouvant physiquement et psychologiquement. Il bouleverse le rythme et les repères de la vie de l’adulte, qui devient moins résistant et ne peut de toute façon pas s’adapter à la vie de l’enfant. Parfois, on n’a ni famille, ni amis, ni voisins disponibles pour prendre soin de notre bébé et nous permettre de dormir ou nous reposer ne serait-ce qu’une petite heure. Il faut alors trouver une solution en interne.

Des pleurs de bébés, cela s’écoute. On entend ainsi qu’ils sont différents selon que le bébé exprime sa fatigue, sa faim, son ennui. Répondre par un geste, une présence, une parole, un toucher est indispensable pour communiquer à son bébé le fait qu’on entend son besoin. – Je rappelle qu’aucun nourrisson n’est capricieux ou coléreux. –

On ne peut vivre à 100% avec son bébé nouveau-né. Trouver un sain équilibre relationnel pour lui et nous, voilà quel sera le cap à tenir tout au long de notre vie commune.

Poser son bébé dans son lit en lui disant « Je te pose là car j’entends que tu pleures, mais je suis très très fatiguée et j’ai besoin de me reposer. Je reviendrai te chercher dès que je serai reposée. »

J’ajouterai qu’il existe un moyen de communiquer avec son bébé très efficace et utile, qui précède le langage, c’est le langage des signes, langue qui peut être utile tout au long de notre vie, pour communiquer avec les bébés, avec les étrangers, avec les personnes handicapées, avec les personnes âgées. Si seulement on décidait tous d’une langue commune intraplanétaire !